Luc dans le Futur
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Luc dans le Futur
Bonjour
C’est la nouvelle Rekord de Luc à sustentation/sur coussin d’air. Ecologique à souhait ; plus de pneumatique, un croisement entre l’aérotrain et le naviplane. Freinage par disques ventilés. avec inverseur de flux. Moteur/turbine fonctionnant à l’eau sous pression, un brouillard de gouttelettes d’eaux est injecté dans les cylindres.
Mais Luc est un grand chercheur devant l’infini, il va la transformer en un moteur fonctionnant à l’hydrogène fonctionnant par électrolyse à température ambiante avec un courant faible en entrée : production d'hydrogène à partir d'eau à moindre coût ! L'hydrogène est l'une des pistes explorée pour remplacer le pétrole.
Disons que Luc a repris les études d’un moteur fonctionnant à l’hydrogène, qui a réellement fonctionné au temps de Napoléon 1er par François Isaac de Rivaz (ingénieur Suisse) . Il basa son idée centrale d’associer sur les 2 inventions de Volta : le pistolet et la pile électrique.
Son moteur fut adapté d’abord à une pompe de jardin. Puis en 1804, sur un véhicule automoteur, le 1er moteur à hydrogène fonctionne et le brevet est déposé à Paris en 1805. L’allumage se fait par une pile de Volta pour le filament. Le moteur est un mono cylindre, le piston et la bielle font corps et sec déplacent sur le même plan, les roues avant sont motrices entraînées par un système de rochet d’irréversibilité, entraînant une poulie double de transmission, etc... Il prévoit en 1809 le remplacement de la diligence qui passe par le Simplon. Mais il y a la guerre entre la France et la Suisse ; le canton du Valais (Suisse) devient Français. Les autorités française le nomme conseiller de la Préfecture. Il continu ses calculs tout en améliorant son moteur à hydrogène. Il obtient par distillation de sapin bien sec. Pour le conserver, il renferme les gaz dans une outre dans laquelle il peut le conserver une vingtaine d’heures. De son retour à Sion, de Rivaz apprend, par son mécanicien Paschaud,que le ‘’char’’ a monté toute la cour et assez de pente et que l’ébranlement a été tout à fait modéré. Etc, etc… Prévoyant avec génie ce que sera le transport de demain, par automobile, ce Rivaz reprend ses calculs, redessine un nouveau ‘’char’’ et pour convaincre les gens il calcule le temps à gagner sur les diligences. Il calcul qu’en 1813 qu’en 20 heures il pourrait parcourir 60 km. Car n’ayant plus d’argent il cherchera des commanditaires malheureusement personne encore la nécessité d’aller plus et il n’obtient pas un sou. Peut-être s’il l’avait proposé à Napoléon 1er , l’histoire de l’Empire eut-elle été changée. Il mourut à l’âge de 77 ans, sans laisser de descendant.
Le créateur du 1er moteur français à explosion fut Etienne Lenoir. Cependant, Lenoir avait eu un prédécesseur 50 ans plutôt, en la personne de l’ingénieur Isaac de Rivaz.
Histoire de la famille
Les parents de François Isaac de Rivaz (1711-1772) habitait Paris au milieu de XVIIe siècle, c’était un bourgeois Valaisan. Pierre-Joseph de Rivaz, mathématicien et mécanicien habile, constructeur d’horloge de grande précision, félicitation de l’Académie des sciences de Paris. Il eut un fils le 11 décembre 1752, François Isaac qui héritait des dons d’inventions de son père et devait devenir un précurseur du moteur à explosion. Pierre-Joseph de Rivaz ne devait, comme bien d’autre, pas tirer fortune de ses inventions. Au contraire, et c’est ainsi qu’après sa mort, sa femme et ses enfants, dont Isaac qui venait d’atteindre vingt ans, retournèrent dans le Valais. Quelques années plus tard, en 1784, de Rivaz était nommé Major du gouvernement de Monthey, c’est à dire « maire » de cette petite ville de la vallée du Rhône. Il suivait depuis longtemps, les perfectionnements de la machine à vapeur et comme nombre d’ingénieurs de l’époque, pensait l’utiliser pour la propulsion d’une voiture. Le 16 janvier 1787, il déposait devant le gouvernement souverain de Sion, un « mémoire » contenant les détails d’une expérience faite avec » une machine à feu de nouvelle invention ». Il a donc construit son premier véhicule automobile et il envisage que celui-ci peut-être conduit, même par une femme. Etc…
La pile de Volta :
Composé d’un empilage de disque : 1 de zinc, un de drap imprégné d’eau mélangée d’acide sulfurique et un de cuivre, ainsi de suite laquelle donne le courant au filament d’allumage.
Formule d’Isaac de Rivaz, en 1806, pour l’explosion du mélange d’air et d’hydrogène :
500 cm3 d’hydrogène plus 5 à 6 fois d’air. L’explosion suffisait pour faire jouer un piston de 5 à 6 kg.
L’automobile aurait pu être mise en pratique avec ½ siècle d’avance.
Daniel Historien de l’OOCB.
C’est la nouvelle Rekord de Luc à sustentation/sur coussin d’air. Ecologique à souhait ; plus de pneumatique, un croisement entre l’aérotrain et le naviplane. Freinage par disques ventilés. avec inverseur de flux. Moteur/turbine fonctionnant à l’eau sous pression, un brouillard de gouttelettes d’eaux est injecté dans les cylindres.
Mais Luc est un grand chercheur devant l’infini, il va la transformer en un moteur fonctionnant à l’hydrogène fonctionnant par électrolyse à température ambiante avec un courant faible en entrée : production d'hydrogène à partir d'eau à moindre coût ! L'hydrogène est l'une des pistes explorée pour remplacer le pétrole.
Disons que Luc a repris les études d’un moteur fonctionnant à l’hydrogène, qui a réellement fonctionné au temps de Napoléon 1er par François Isaac de Rivaz (ingénieur Suisse) . Il basa son idée centrale d’associer sur les 2 inventions de Volta : le pistolet et la pile électrique.
Son moteur fut adapté d’abord à une pompe de jardin. Puis en 1804, sur un véhicule automoteur, le 1er moteur à hydrogène fonctionne et le brevet est déposé à Paris en 1805. L’allumage se fait par une pile de Volta pour le filament. Le moteur est un mono cylindre, le piston et la bielle font corps et sec déplacent sur le même plan, les roues avant sont motrices entraînées par un système de rochet d’irréversibilité, entraînant une poulie double de transmission, etc... Il prévoit en 1809 le remplacement de la diligence qui passe par le Simplon. Mais il y a la guerre entre la France et la Suisse ; le canton du Valais (Suisse) devient Français. Les autorités française le nomme conseiller de la Préfecture. Il continu ses calculs tout en améliorant son moteur à hydrogène. Il obtient par distillation de sapin bien sec. Pour le conserver, il renferme les gaz dans une outre dans laquelle il peut le conserver une vingtaine d’heures. De son retour à Sion, de Rivaz apprend, par son mécanicien Paschaud,que le ‘’char’’ a monté toute la cour et assez de pente et que l’ébranlement a été tout à fait modéré. Etc, etc… Prévoyant avec génie ce que sera le transport de demain, par automobile, ce Rivaz reprend ses calculs, redessine un nouveau ‘’char’’ et pour convaincre les gens il calcule le temps à gagner sur les diligences. Il calcul qu’en 1813 qu’en 20 heures il pourrait parcourir 60 km. Car n’ayant plus d’argent il cherchera des commanditaires malheureusement personne encore la nécessité d’aller plus et il n’obtient pas un sou. Peut-être s’il l’avait proposé à Napoléon 1er , l’histoire de l’Empire eut-elle été changée. Il mourut à l’âge de 77 ans, sans laisser de descendant.
Le créateur du 1er moteur français à explosion fut Etienne Lenoir. Cependant, Lenoir avait eu un prédécesseur 50 ans plutôt, en la personne de l’ingénieur Isaac de Rivaz.
Histoire de la famille
Les parents de François Isaac de Rivaz (1711-1772) habitait Paris au milieu de XVIIe siècle, c’était un bourgeois Valaisan. Pierre-Joseph de Rivaz, mathématicien et mécanicien habile, constructeur d’horloge de grande précision, félicitation de l’Académie des sciences de Paris. Il eut un fils le 11 décembre 1752, François Isaac qui héritait des dons d’inventions de son père et devait devenir un précurseur du moteur à explosion. Pierre-Joseph de Rivaz ne devait, comme bien d’autre, pas tirer fortune de ses inventions. Au contraire, et c’est ainsi qu’après sa mort, sa femme et ses enfants, dont Isaac qui venait d’atteindre vingt ans, retournèrent dans le Valais. Quelques années plus tard, en 1784, de Rivaz était nommé Major du gouvernement de Monthey, c’est à dire « maire » de cette petite ville de la vallée du Rhône. Il suivait depuis longtemps, les perfectionnements de la machine à vapeur et comme nombre d’ingénieurs de l’époque, pensait l’utiliser pour la propulsion d’une voiture. Le 16 janvier 1787, il déposait devant le gouvernement souverain de Sion, un « mémoire » contenant les détails d’une expérience faite avec » une machine à feu de nouvelle invention ». Il a donc construit son premier véhicule automobile et il envisage que celui-ci peut-être conduit, même par une femme. Etc…
La pile de Volta :
Composé d’un empilage de disque : 1 de zinc, un de drap imprégné d’eau mélangée d’acide sulfurique et un de cuivre, ainsi de suite laquelle donne le courant au filament d’allumage.
Formule d’Isaac de Rivaz, en 1806, pour l’explosion du mélange d’air et d’hydrogène :
500 cm3 d’hydrogène plus 5 à 6 fois d’air. L’explosion suffisait pour faire jouer un piston de 5 à 6 kg.
L’automobile aurait pu être mise en pratique avec ½ siècle d’avance.
Daniel Historien de l’OOCB.
Daniel- Messages : 544
Date d'inscription : 22/04/2012
Age : 81
Localisation : Paris Ouest
Re: Luc dans le Futur
J'imagine bien Luc, tout ébouriffé, crier "ça marche!! "
Jacques- Messages : 743
Date d'inscription : 10/04/2012
Age : 71
Localisation : DREHANCE
Re: Luc dans le Futur
Et à propos de coussin d'air: http://aernav.free.fr/Aerotrain/Video/Video_Aerotrain.html
lucdm- Admin
- Messages : 3262
Date d'inscription : 20/04/2012
Age : 68
Localisation : Natoye / Président OOCB
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