Le 13 septembre 2020, balade dans le BéWé.
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Alain Decastiau
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lucdm
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Le 13 septembre 2020, balade dans le BéWé.
Organisée par Alain Decastiau et Viviane.
On aura des renseignements plus tard, mais voilà, le sujet est créé et on peut bloquer la date dans l'agenda.
On aura des renseignements plus tard, mais voilà, le sujet est créé et on peut bloquer la date dans l'agenda.
lucdm- Admin
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Re: Le 13 septembre 2020, balade dans le BéWé.
Nous en sommes!
lucdm- Admin
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Balade du 13 sept.2020
Nous serons présents, à bientôt.
COOL - PEETERS- Messages : 50
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Re: Le 13 septembre 2020, balade dans le BéWé.
Balade en BW
Bonjour à toutes et tous
Ce 13 septembre pour ceux qui sont partant vous trouverez en annexe ci-dessous le programme de la journée
Nous respecterons tous les mesures de précautions d’usage et nous nous suivrons en voiture, à chaque arrêt chacun veillera à respecter l’autre avec le port du masque, pas au repas ni au arrêt boissons bien entendu
Le matin plusieurs petits arrêts, dont un vers 11h30 boissons et « pipi »
A midi un lieu pour le picnic, chacun apportera son picnic et pourra profiter des installations pour boire un coucou et ….
Idem pour l’après midi
Un repas est prévu le soir vers 18h pour ceux qui le souhaites
Pour la bonne organisation, veuillez nous communiquer
Votre participation
Au petit déjeuner 17 € pp
Au picnic chacun apportant le sein
Au repas de fin de balade
Amitiés
Vivaine et Alain
alain.decastiau@gmail.com
0475489699
Voici le programme pour ce dimanche 13 septembre.
Rendez-vous entre 8 et 9h30 au Novotel de Wavre pour un bon petit déjeuner
Rue de la Wastinne 45, 1301 Wavre
Départ à 10 heures pour une balade qui nous emmènera vers
Château de Rixensart
La seigneurie de Rixensart, mentionnée dès 1217, a appartenu au lignage de Limal avant d'être vendue en 1536 à la famille de Croy1.
Le domaine échoit par mariage en 1586 à Charles de Grave, dont la fille épouse Philippe-Hippolyte Spinola, comte de Bruay2, Grand d'Espagne, gouverneur de Lille, Douai et Orchies3.
C'est à cette époque que le château prit sa forme actuelle.
Le château a été transmis en 1715 par la comtesse douairière de Bruay, veuve de Philippe de Spinola3, à la famille de Merode qui l'habite toujours1,2.
Les jardins auraient été inspirés d'un dessin d'André Le Nôtre, l'architecte de Louis XIV qui a dessiné les jardins de Versailles2,4,5.
Après trois siècles d'occupation, les propriétaires et leurs administrateurs mettent le château et son domaine d'environ 130 hectares en vente publique le 21 juin 2018 pour une vente en huit lots6,7,8,9. Les enchères étant restées trop basses (1,7 million d'euro pour le premier lot qui comprenait le château lui-même, ses dépendances, le parc et l'église), les vendeurs décident de le retirer de la vente publique10.
Depuis le 15 novembre 2018, le château de Rixensart et son parc sont propriété de la Fondation Merode-Rixensart créée par le Prince Charles-Louis de Merode, son épouse, la Comtesse Clotilde d'Oultremont, et leurs enfants. Le Prince Charles-Louis de Merode, consul honoraire du Royaume de Belgique à Aix-la-Chapelle, fondateur du Carnet mondain, est le neveu de la Princesse Henri de Merode, qui était la précédente propriétaire avec ses enfants
En route pour le lac de Genval
Située au nord de la province du Brabant wallon, à une dizaine de kilomètres de Wavre, la commune de Rixensart abrite un trésor de nature et d’architecture : le parc de Genval.
Par Florence Pirard
Genval est aujourd’hui une agglomération fortement urbanisée, proposant un relief vallonné ponctué de deux cours d’eau, la Lasne et l’Argentine. D’un point de vue étymologique, Genval, divisé en deux parties, vient de la contraction de « jusenne » en « gen » (signifiant bas) et « val » : il s’agit donc du « val d’en bas ». Le territoire de Genval a été occupé dès la période néolithique, mais la première église n’est mentionnée qu’au XIIIe siècle. Essentiellement agricole jusqu’à la fin du XIXe siècle, le village deviendra résidentiel à la suite de la création d’une gare et d’un parc immobilier de 60 hectares. En 1898, l’exploitation des eaux minérales s’accompagnera de la création d’hôtels et de villas qui modifieront l’aspect du village.
Ce splendide pavillon a été aménagé en chambre d’hôtes. Vous pouvez y poser vos valises pour quelques nuits. :copyright: DR
L’eau a joué un rôle prépondérant dans le développement de cette commune du Brabant wallon, située à seulement 25 kilomètres du centre de Bruxelles. Au début du siècle dernier, on venait déjà en cure sur les bords du lac de Genval et c’est grâce à la Lasne, le cours d’eau qui traverse littéralement la commune, qu’ont pu se développer les papeteries de Genval, célèbres pour avoir créé le balatum.
Lire aussi > Trésors wallons : Le Fort de Loncin, la mémoire d’une tragédie
La création du lac
Le lac de Genval s’étend en bordure de la forêt de Soignes, au sud-est de Bruxelles, sur les limites des territoires des communes de Rixensart, dans la province du Brabant wallon, et d’Overijse, dans la province du Brabant flamand. À la fin du XIXe siècle, l’avocat et homme d’affaires Gustave Smets-Mondez (1861-1938) élabore le projet de création d’un lac artificiel sur des terrains dont il vient de faire l’acquisition dans la vallée de la rivière Argentine. Il souhaite transformer l’endroit en lieu de villégiature thermale pour les riches familles bruxelloises. L’aménagement du lac de 18 hectares et du parc qui l’accompagnera est confié à l’architecte paysagiste Adrien Hubaut. Le lac est rempli en 1903-1904 grâce à l’eau provenant de l’Argentine, dont le cours contournera ensuite le plan d’eau.
Le site autour du lac, qui est une propriété privée fermée par des barrières, est géré par la société anonyme Genval-les-Eaux, qui entreprend de le lotir. Dans un cadre arboré, on trace de nouvelles artères sinueuses, le long desquelles sont construits des habitations cossues, des hôtels et des restaurants aux styles les plus divers, rivalisant de fantaisie.
Nous passons sur le site des anciennes papeteries de Genval(nouveau logements)
avant
Aujourd'hui, les vestiges des papeteries sont lourdement reconvertis. Les bâtiments sont devenus des centres commerciaux de proximité, les corons sont massivement transformés, certains bâtiments ont disparu. Une friche qui renaît de ses cendres. Les photos ne présentent pratiquement pas de bâtiments reconvertis, cela va de soi que les vestiges de la papeterie sont méconnaissables.
La société est crée en 1920 et les bâtiments s'étalent très vite. La proximité de la gare et de la Lasne en font un lieu à peu près idéal. Lannoye créera un produit de renommée mondiale : le balatum. C'est un revêtement de sol établi à base de pâtes cartonneuses, un prix de revient très peu élevé et une solidité à toute épreuve. Ce revêtement aura ses heures de gloire, surtout entre 1950 et 1970. Il créera aussi le papier d'emballage kraft. Ce papier marron au prix dérisoire convient à toutes sortes d'emballages, surtout grâce à sa solidité.
Les papeteries s'étendent jusqu'en 1950. Il y avait près de la gare de Genval un bâtiment élevé appelé Tour à Charbon. Celle-ci servait à l'alimentation en charbon des locomotives vapeur dédiées au transport des produits de la papeteries. Aujourd'hui, cette tour est démolie. Juste à côté des bâtiments du personnel (près de l'actuelle gendarmerie), une tour élevée couverte de tuiles en ardoises. C'est la tour du tir à l'arc. On y pratique le tir vertical et le tir à la perche. On appréciera les jolis corons de la Place Lannoye, surtout dans la Rue de Rixensart des numéros 7 à 30, puis la rue longeant la tour du tir à l'arc. La place montre d'ailleurs un joli buste en bronze d'Auguste Lannoye.
Vers la gare, l'église de Maubroux (Eglise Saint-Pierre) a été aussi construite par les papeteries. C'est pour cette raison qu'on y retrouve une architecture industrielle : les montants de l'église sont en béton. Le clocher ne manque pas de rappeler un chevalement minier. Il ne manque plus que les molettes !
En 1936, un incendie ravageur détruit une partie de l'usine. Malgré tout, les fonds permettent une reprise et même un développement. Auguste Lannoye meurt en 1938. Le développement continue jusqu'en 1950, où 2500 employés travaillent quotidiennement à la fabrication du balatum. Le déclin survient par manque de modernisation de l'usine. Le manque de volonté manifeste fait tomber l'usine en 1980
.
Direction vallée de la Lasne vers Renipont
Renipont-Plage, c’est une piscine naturelle à ciel ouvert nichée au fond d’un domaine de 9 he ctares, majoritairement classé Natura 2000.
Ce bassin naturel est alimenté par une source, le Ry d’Heuchaux. L’étang est donc parfaitement sain et propre.
Étroitement surveillée par les inspecteurs de la Région Wallonne, Renipont-Plage se hisse en tête du classement de qualité des eaux de baignade.
Patrick van den Bogaerde, propriétaire du site : ”Notre personnel veille à ce qu’aucun mégot de cigarette, aucune canette, aucun sac en plastic ne traîne sur la plage ou au bord de l’eau.
Nous voulons aussi conscientiser nos visiteurs. Le message passe assez bien d’ailleurs. Les gens comprennent que les eaux de source qui alimentent l’étang sont précieuses et que la qualité des eaux de baignade doit être maintenue. La plupart des personnes sont tout à fait respectueuses.
Un étang d’autant plus propre que les carpes contribuent au nettoyage du bassin”.
Ensuite direction place de Céroux Mousty
Cette place de 10.000m² est la plus grande et la plus verte des places du Brabant wallon3,5.
Conservant quelques tronçons de rue pavés, elle constitue une « vaste et belle place presque carrée » divisée par une ruelle diagonale en deux triangles de pelouse inégaux4, un grand triangle au sud et un petit au nord.
Son intérêt paysager est lié à la présence de 61 tilleuls de Hollande qui donnent à la place un charme exceptionnel et sont classés par arrêté ministériel5.
Ce triangle constitue la plus grande place entourée d'arbres de Belgique, ce qui en fait un lieu particulièrement adapté aux décollages de montgolfières6,7.
Nous roulerons au travers des champs pour rejoindre la place de Céroux Mousty, célèbre pour les vols en montgolfières et la fête de la pomme place qui a inspiré Herger
De là nous prendrons la direction de la place d’Ohain, place qui abrite une très beau kiosque
La Place Communale, est sans conteste une des plus belles places de
village de Belgique, classée en 1959. Bordée de maisons élégantes, elle
dégage une grande sérénité et a attiré, depuis toujours, de nombreux
artistes. Regardez la maison sise au n° 17 (maison avec la verrière) : elle a
été la maison de deux artistes renommés, Anto Carte (1886-1954) et Albert
Delstanche (1870-1941).
En montant sur le kiosque, vous pouvez apercevoir, à gauche de la place, le
manoir d’Ohain dont beaucoup de Lasnois ignorent l’existence tant il se
dissimule derrière ses murs. C’est une magnifique bâtisse, datant de la fin
du 15ème siècle, qui s’est transmise depuis cette époque uniquement par
successions. Un fait rare. Il est actuellement la propriété du comte de
Diesbach. Le peintre Bram Bogart, décédé en 2012, y a vécu de 1962 à 1987
et y a connu une période de création très féconde.
La place d’Ohain est également un lieu d’histoire : au n° 17 où vécurent les
artistes Anto Carte et Albert Delstanche, Paul Goldschmidt-Clermont prit
l’initiative, en août 1941, de réunir clandestinement des personnalités du
monde politique et économique pour signer un texte qui fut à l’origine du
système de sécurité sociale mis sur pied après la guerre. Une plaque
apposée sur la façade de l’ancienne maison communale rappelle cet
évènement.
Toujours sur la Place Communale
La Fontaine Mascart a été inaugurée en 1890 en grande pompe pour
honorer trois frères : Julien, Antoine et Louis Mascart, natifs d’Ohain.
Quatre membres de la famille Mascart furent tour à tour bourgmestres
d’Ohain.
Direction Genappe via de petites route de campagne
Au xixe siècle, l’économie de Genappe était essentiellement agricole. Les trois plus grandes exploitations agricoles étaient la « Ferme du Roi d’Espagne », la « Ferme Art » et la « Ferme Demanet ». La production la plus importante était le froment, suivi par l’avoine, les fèves et féveroles et les pommes de terre. Près de 29 hectares étaient constitués de prés et de vergers.
Genappe comprenait alors deux moulins, deux brasseries, deux fabriques de vinaigre de fruits, cinq fabriques de chicorée dont une mue par un cheval, deux pressoirs à huile (« stordoirs »), etc.
Le marché se tenait à Genappe le vendredi depuis un A.R. du 2 juillet 18236.
Genappe a été la barrière d'octroi n° 6 en Brabant sur la route de Bruxelles vers Trèves7. En 1834 la perception de l'octroi se faisait légalement entre la Poste aux chevaux et le chemin de Bousval.
Il serait difficile de relater le détail les divers événements qui ont ponctué l’histoire du château de Genappe : ce serait vouloir écrire toute l’histoire du Brabant. Il faut, cependant, obligatoirement faire mention du séjour que fit à Genappe, le dauphin de France, futur Louis XI, en révolte ouverte contre son père Charles VII. Le dauphin, qui ne s'entendait pas avec son père, avait précédemment passé dix années dans son apanage du Dauphiné, et pris la fuite lorsque son père fit envahir la province le 30 août 1456, pour le contraindre à revenir à la Cour.
Sous le prétexte d'une partie de chasse, activité dont il était friand, Louis, accompagné d'une petite escorte, mit le cap sur Chalon en terre bourguignonne puis, à travers la Lorraine, sur Bruxelles où il parvint le 15 octobre de cette même année. Le dauphin Louis espérait bien trouver refuge auprès de son « bon oncle », le duc Philippe III de Bourgogne, et celui-ci le reçut avec tous les honneurs dus à son rang, lui octroyant le château de Genappe comme résidence, ainsi qu'une pension annuelle de 36 000 livres.
La réserve naturelle des décanteurs de la sucrerie de Genappe est aujourd’hui, avec ses 77 hectares, la plus grande réserve du Brabant wallon !!
En 2004, la sucrerie ferme définitivement ses portes. La Région wallonne se porte acquéreuse de l’ensemble du site en 2007 et la création de la réserve naturelle est décidée dans la foulée. Cette réserve naturelle domaniale " les décanteurs de la sucrerie de Genappe " est gérée par le département de la nature et des forêts (DNF) de la Région wallonne, propriétaire des lieux
un petit coup de pouce des bénévoles - :copyright: Tous droits réservés
Etant donné la taille du site, l’association Environnement-Dyle et des bénévoles viennent régulièrement en renfort pour couper des saules qui assèchent les bassins de décantation ; dégager des passages pour les visites guidées, éliminer des plantes invasives. Les tâches sont donc diverses : tronçonner, ébrancher, ramasser, brûler, … en fonction des compétences de chacun, au rythme qui convient et le temps que l’on veut.
Nous continuons notre route vers Nivelles ou nous nous arrêterons pour une pause à l’entrée de l’ancien circuit de Formule 1
Le circuit de Nivelles-Baulers est un ancien circuit de sports mécaniques situé à Nivelles, près de Bruxelles (Belgique), actif de 1971 à 1981. Développant 3,724 km, il a notamment accueilli deux Grands Prix de Formule 1, les 4 juin 1972 et 12 mai 1974, tous deux remportés par Emerson Fittipaldi.
Vue aérienne du Circuit de Nivelles-Baulers
Inauguré en 1971, le site accueille les éditions 1972 et 1974 du Grand Prix automobile de Belgique, à une période où l'épreuve alterne entre circuits flamand et wallon. Conçu par Roger Caignie pour être une alternative sûre à Spa-Francorchamps jugé trop dangereux, le circuit de Nivelles-Baulers est, à l'époque, à la pointe de la sécurité ; les spectateurs sont idéalement placés avec une belle vue d'ensemble sur le tracé 1.
En 1972, le Grand Prix de Formule 1 attire 100 000 personnes et voit la victoire d'Emerson Fittipaldi.
En 1980, le circuit accueille le championnat du monde de karting auquel participe Ayrton Senna qui se classe deuxième2,3.
Le circuit rencontre rapidement des problèmes économiques et l'organisateur, la société CAPENIB (circuit automobile permanent européen de Nivelles-Baulers) fait faillite en 1974. Bernie Ecclestone doit organiser lui-même l'édition 1974 du Grand Prix.
Le circuit est ensuite exploité par Lawrence Gozlan qui, en 1978, rachète le bail emphytéotique alors que l'État se portait également acquéreur. Le 1er décembre 1981, un arrêté royal classe le site « zone d'extension d'équipement communautaire et de service public », et le ferme définitivement.
Jusqu'à la fin des années 1990, les bâtiments et le circuit sont abandonnés. L'Intercommunale du Brabant wallon achète les terrains et la piste est partiellement détruite (il ne subsiste qu'environ un tiers du tracé). La zone industrielle Portes de l'Europe-Nivelles business park est bâtie à la place4.
Le 29 juin 2014, quarante ans après la dernière course de Formule 1, Le Formula Club Belgium organise une démonstration, le Grand Prix de Nivelles Revival, sur une partie de l'ancien tracé.
Après cette pause nous reprenons la route vers le plan incliné de Ronquières
Le plan incliné de Ronquières est un ascenseur à bateaux près de Ronquières (Braine-le-Comte), dans la province de Hainaut (Belgique). Situé sur le parcours du canal Bruxelles-Charleroi, il permet de faire glisser un bac contenant une ou plusieurs péniches en vue de leur faire franchir un dénivelé important. Le plan incliné a été mis en service en 1968.
Le plan incliné de Ronquières compense une dénivellation de 68 m sur 1 432 m de long.
Il est constitué de deux bacs montés sur rails (sas mobiles) équipés chacun d'un contrepoids de 5 200 tonnes. Chaque bac mesure 91 m de long, 12 m de large, 600 roues et peut contenir une hauteur d’eau de 3 à 3,70 m.
Sa capacité maximale est de une péniche de 1 350 tonnes ou plusieurs bateaux de plus petit tonnage.
Chaque bac est tracté par un treuil situé dans la tête amont, au pied de la tour. Chaque bac est relié à son contrepoids par huit câbles. Chaque bac fonctionne de manière totalement indépendante
Le parcours de 1 432 m entre les deux biefs dure 22 minutes environ à la vitesse de 1,20 m/s1.
Après une halte nous poursuivons vers le port d’Ittre ou nous pourrons manger notre pic-nic, un établissement nous permet de manger notre picnic et d’utiliser leur toilette, nous pouvons profitez de leur installation si nous consommons une boisson endroit charmant.
La Capitainerie est ouverte du samedi 13 juin 2020 au 30 septembre 2020 les mercredi, jeudi et vendredi de 12 h à 18 h et les samedi et dimanche de 11 h à 18 h .
LES MESURES DE PRECAUTION APPLICABLES A L’HORECA SERONT EN VIGUEUR
Après la pause déjeuner nous nous dirigerons vers Nivelles et sa Collégiale
Époque Romaine
À l'époque romaine : la conquête par les armées de César n'apporte pas de changement, la région est toujours vouée à l'agriculture. Il faut attendre la fin du ier siècle pour une réelle romanisation. Tant dans les grands domaines comme le complexe de la Tournette que dans les petites métairies comme celle de la Vieille Cour à Thines, l'influence de Rome et les bienfaits de techniques nouvelles se font alors sentir : céramique, métallurgie, construction en dur et produits de luxe... La région est favorisée par la proximité de la grande chaussée Bavay-Cologne.
Vers 275, l'invasion barbare traverse le pays et modifie l'aspect des campagnes qui seront désertées. La plupart des villae (ou fermes) sont détruites par incendie.
Moyen Âge[modifier | modifier le code]
Au milieu du viie siècle, le territoire de la ville actuelle de Nivelles se situe au cœur de l'Austrasie franque. Les maires du palais de la dynastie des Mérovingiens deviennent peu à peu propriétaires de vastes domaines agricoles sur lesquels ils règnent en maîtres. Ainsi, le maire du palais, Pépin de Landen, possède une immense villa de quelque 7 800 hectares sur le territoire de l'actuelle ville de Nivelles et des villages environnants. Il meurt en 640, laissant une veuve, Itte Idoberge (ou Itte de Nivelles), originaire d'Aquitaine, et quatre enfants : Grimoald Ier Ier, Begge d'Andenne, Bavon de Gand et Gertrude de Nivelles.
Entre 647 et 650, l'évêque de Maastricht, Amand, lui aussi originaire d'Aquitaine, persuade Itte de fonder un monastère double, c'est-à-dire une communauté d'hommes et de femmes qui trouve un abri dans les murs de la villa de Pépin. Gertrude, la fille de Itte, devient la première abbesse de l'abbaye de Nivelles. Le premier oratoire, dont on a découvert les restes sous la collégiale, était dédié à saint Pierre. C'est là que l'on enterre les membres de la communauté (l'abbesse sainte Gertrude en 659, Ermentrude, vers l'an 1000, petite-fille du roi des Francs Hugues Capet). Le second oratoire, dédié à saint Paul, est réservé à la communauté masculine. Quant à l'oratoire dédié à Notre-Dame, il est réservé à la communauté féminine.
Gertrude meurt en 659 et est enterrée dans la chapelle funéraire dédiée à saint Pierre. La présence de cette tombe abbatiale va conditionner toute l'évolution architecturale de l'église : l'afflux des pèlerins entraîne des adaptations et des agrandissements continuels. Le prestigieux édifice roman, consacré en 1046 par l'évêque de Liège Wazon en présence de l'empereur Henri II du Saint-Empire, n'est que l'ultime étape de cette évolution.
La Collégiale Sainte-Gertrude de Nivelles.
Quant à l'abbaye, fondée par des membres de la famille des maires du palais, elle devient abbaye impériale par l'accession au trône de leurs descendants.
Le xie siècle constitue l'apogée de l'abbaye. Le domaine étend ses possessions en Frise, en Zélande, dans la vallée de la Moselle et jusqu'au Rhin. À Nivelles, une ville se forme autour du noyau que constitue l'abbaye : un vicus (agglomération marchande) sous Charles II le Chauve (ixe siècle), un burgus vel villa (xie siècle), un oppidum (xiie siècle - avant 1182) avec un rempart long de près de deux kilomètres, percé de sept portes et flanqué de onze tours.
Au xiiie siècle, la ville est sous la protection des ducs de Brabant.
L'axe commercial principal de la région est à l'origine un axe nord-sud s'étendant jusqu'en Angleterre. Il se déplace sur l'axe est-ouest, soit la voie Cologne-Bruges. La ville atteint alors, en un très court délai, un niveau de prospérité tel qu'elle ne pourra pas le maintenir, se voyant supplantée par les autres communes du Brabant.
À Nivelles, les véritables représentants de l'autorité communale sont les jurés, les rentiers et les maîtres des métiers qui apparaissent au xive siècle ; ils s'occupent tant des finances que des fortifications et des travaux publics. Les échevins auront de l'importance plus tard.
En 1262, le soulèvement de la « commune » de Nivelles les habitants affrontent l'autorité abbatiale, jusqu'en 1265 ; chartes et traités conclus avec d'autres villes ainsi que le sceau communal créés pour la circonstance sont finalement détruits.
Le règne de la duchesse Jeanne de Brabant marque la période de la plus grande puissance de la commune nivelloise. Les concessions qu'elle obtient, tant de la souveraine du Brabant que des abbesses, assurent le renforcement définitif de ses libertés.
Époque moderne[
Période espagnole (1555-1713)[
En 1578, la ville est assiégée et prise par les troupes espagnoles de Charles de Mansfeld. En 1647, l'émeute provoquée par les fabricants de fil, suivis aussitôt par leurs ouvriers, va inciter un grand nombre d'artisans à gagner les régions de Cambrai et de Valenciennes, exil qui va coûter très cher aux activités économiques de la ville. Les guerres transforment les Pays-Bas espagnols en un immense champ de bataille et Nivelles n'échappe pas aux occupations militaires successives.
Période autrichienne (1713-1795)[
Le régime autrichien apporte des réformes d'ordre administratif, ecclésiastique, institutionnel et judiciaire. Ainsi, le règlement de 1778 supprime le corps des jurés et restituant aux échevins leurs prérogatives. Le nouveau magistrat ne résiste cependant pas aux réformes voulues par Joseph II ainsi qu'à la tourmente révolutionnaire. Le réseau des voies de communication routière s'améliore. Durant la révolution brabançonne, le parti de Henri van der Noot triomphe à Nivelles où l'on s'efforce d'anéantir toutes les réformes introduites par Joseph II.
Époque contemporaine[]
Période française (1795-1815)[
La période française se traduit par la rupture définitive avec l'Ancien Régime et la naissance d'une démocratie moderne. Les remparts sont détruits par les Français entre 1810 et 1812, ne laissant subsister que des fragments du mur d'enceinte et la Tour Simone (ou tour du Diable), encore visitable de nos jours.
Le palais de Justice I (1888-1891).
Belgique indépendante[modifier | modifier le code]
À la révolution belge de 1830, la ville de Nivelles est l'une des premières à envoyer à Bruxelles un groupe de patriotes, qui se distingue par leur ardeur au combat.
La révolution industrielle, caractérisée notamment par l'avènement de la mécanisation, va faire de Nivelles un pôle industriel appréciable à travers la montée en régime de la Société anonyme la Métallurgique, future La Brugeoise et Nivelles, spécialisée dans la chaudronnerie en général, la construction métallique et surtout le matériel de chemin de fer, dont des locomotives électriques encore en service de nos jours. L'année 1988 lui sera cependant fatale pour d'obscures raisons communautaires, malgré l'intérêt porté par la firme Bombardier.
En début de xxe siècle, Nivelles est une ville de province calme avec de petits moyens. La Première Guerre mondiale va porter un premier coup aux efforts consentis, mais pas de manière vraiment durable.
La nuit du 3 au 4 février 1920, un incendie à l'école normale de Nivelles tue cinq élèves et un maître. Le directeur, M. Victor Deprez, meurt de chagrin quelques jours plus tard8. Une tombe commune est érigée au cimetière de Nivelles tandis qu'une plaque commémorative figure à l'entrée de l'école normale (Haute École P-H. Spaak).
La Seconde Guerre mondiale va marquer de façon indélébile tant la ville elle-même que sa population. Le 14 mai 1940, tout est détruit par l'aviation allemande dans un rayon de 300 m, à quelques rares exceptions près, autour d'une collégiale dont il ne reste plus que les murs.
La politique économique des années 1950-1960 voit la reprise des Papeteries Delcroix par le grand papetier Wiggins Teape et la création d'un parc industriel non-polluant qui va aller d'extension en extension, un des premiers en Belgique sur le modèle américain[Lequel ?].
En septembre 1984, l'inauguration de la collégiale restaurée marque une étape du renouveau de la cité des Aclots.
Nous quitterons Nivelles Vers Houtain le Val entité de Genappe, et ensuite Baisy-THY
Houtain-le-Val Castle (French: Château de Houtain-le-Val) is a château in Houtain-le-Val in the municipality of Genappe, Walloon Brabant, Belgium.
The first castle on the site is believed to have been built by Walter de Holton, first lord of Houtain, in 1129. When it was restored in 1850, two small towers were added. The present owners are the descendants of the Comte de Moerkerke
Baisy-Thy (en wallon Båjhî) est une section de la Ville belge de Genappe située en Région wallonne dans la province du Brabant wallon.
C'était une commune à part entière avant la fusion des communes de 1977.
· Naissance probable de Godefroid de Bouillon en 10611.
· Le 16 juin 1815 a eu lieu une bataille au lieu-dit "Les Quatre-bras" entre l'armée de Napoléon et une coalition de Néerlandais, Anglais et Allemands1. Elle fut prélude à la Bataille de Waterloo trois jours plus tard
· Église Saint-Hubert de Baisy-Thy
· Monument Brunswick2 à la mémoire de Frédéric Guillaume de Brunswick et Lunebourg décédé à proximité le 16 juin 1815.
· Monument à la cavalerie néerlandaise
· Monument aux troupes britanniques et hanovriennes
· Monument aux Belges (Quatre Bras)
· Ferme de l'Auditeur
· Ferme de Bois-St-Jean
· Fermes de Bongré et de Gémioncourt
· Ferme de la Cour d'Aywiers et ferme d'Agnissart
· Château de Thy
Nous arriverons en suite à Villers La Ville
L'abbaye de Villers, dont le nom canonique est « abbaye de Villers-en-Brabant », parfois improprement appelée « abbaye de Villers-la-Ville »note 1, était un monastère de l'ordre de Cîteaux situé près de Villers-la-Ville, en Brabant wallon (Belgique).
Fondée en 1146 dans la vallée de la Thyle par Bernard de Clairvaux, cette abbaye était l'une des premières filles de l'abbaye de Clairvaux. Elle fut très tôt protégée par les ducs de Brabant et ainsi rapidement féconde. Le xiiie siècle marque son apogée. Entre les xive et xviie siècles,
l'abbaye a connu une succession de périodes calmes et troublées, durant lesquelles les moines ont quitté les lieux à neuf reprises pour raisons d'insécurité. Au xviiie siècle, l'abbaye a connu son second âge d'or, marqué par une grande ébullition architecturale. Après la Révolution française, la communauté monastique a dû se disperser, puis l'abbaye fut vendue comme bien national.
Dès lors, aux xixe et xxe siècles, le site a connu dégradations et restaurations. L'ancienne abbaye de Villers est devenue un lieu de visite romantique et pittoresque, mais bien que devenu touristique, le site se dégradait. L'État belge a donc procédé à l'expropriation des lieux en 1892 pour y entamer un important chantier de restauration.
Les ruines appartiennent désormais à la Région wallonne, relevant du patrimoine majeur de Wallonie. La gestion du site est confiée à une association sans but lucratif, laquelle organise depuis 1987 des représentations théâtrales, des expositions et autres manifestations.
Notre balade se terminera « Au Tracteur » à chevlipon ou ceux qui le souhaites pourrons se restaurer avent de rentrer, un très bon établissement sympa
En 1293, le bailli de Nivelles accorde aux religieux de Villers le droit de pouvoir détourner de son cours la Thyle. C’est de cette époque que daterait la construction du moulin. Il servira aussi de forge et de pressoir à huile (stordoir).
Sous la révolution française, le moulin et ses dépendances furent nationalisés et vendus comme biens provenant de la communauté dissoute de Villers. Le moulin comptait alors deux roues motrices et deux paires de meules tandis que le corps de logis couvert d’ardoises se composait de trois petites places. Il y avait aussi une grange et deux écuries aux toits de chaume, une cour, un fournil, etc.
En 1858, les propriétaires renouvellent la roue hydraulique afin d’y installer 3 paires de meules. Ils ajoutent au moulin une scierie de marbre et de pierre bleue, activée par une roue hydraulique. Fin du 19e siècle, le moulin est acheté par la famille Boël qui le transforme en une scierie à bois. Durant la guerre 1914-1918, les Allemands posent une voie ferrée depuis la gare de La Roche pour desservir la scierie.
Le moulin de Chevlipont a été transformé en plusieurs logements mis en location.
Au Tracteur
Voir les photos
Extérieur
[size=30]Au Tracteur[/size]
Site Web
Itinéraire
Restaurant
Chaleureux · Décontracté · Convient aux enfants
Adresse : Rue de Chevelipont 17, 1490 Court-St.-Étienn
Bonjour à toutes et tous
Ce 13 septembre pour ceux qui sont partant vous trouverez en annexe ci-dessous le programme de la journée
Nous respecterons tous les mesures de précautions d’usage et nous nous suivrons en voiture, à chaque arrêt chacun veillera à respecter l’autre avec le port du masque, pas au repas ni au arrêt boissons bien entendu
Le matin plusieurs petits arrêts, dont un vers 11h30 boissons et « pipi »
A midi un lieu pour le picnic, chacun apportera son picnic et pourra profiter des installations pour boire un coucou et ….
Idem pour l’après midi
Un repas est prévu le soir vers 18h pour ceux qui le souhaites
Pour la bonne organisation, veuillez nous communiquer
Votre participation
Au petit déjeuner 17 € pp
Au picnic chacun apportant le sein
Au repas de fin de balade
Amitiés
Vivaine et Alain
alain.decastiau@gmail.com
0475489699
Voici le programme pour ce dimanche 13 septembre.
Rendez-vous entre 8 et 9h30 au Novotel de Wavre pour un bon petit déjeuner
Rue de la Wastinne 45, 1301 Wavre
Départ à 10 heures pour une balade qui nous emmènera vers
Château de Rixensart
La seigneurie de Rixensart, mentionnée dès 1217, a appartenu au lignage de Limal avant d'être vendue en 1536 à la famille de Croy1.
Le domaine échoit par mariage en 1586 à Charles de Grave, dont la fille épouse Philippe-Hippolyte Spinola, comte de Bruay2, Grand d'Espagne, gouverneur de Lille, Douai et Orchies3.
C'est à cette époque que le château prit sa forme actuelle.
Le château a été transmis en 1715 par la comtesse douairière de Bruay, veuve de Philippe de Spinola3, à la famille de Merode qui l'habite toujours1,2.
Les jardins auraient été inspirés d'un dessin d'André Le Nôtre, l'architecte de Louis XIV qui a dessiné les jardins de Versailles2,4,5.
Après trois siècles d'occupation, les propriétaires et leurs administrateurs mettent le château et son domaine d'environ 130 hectares en vente publique le 21 juin 2018 pour une vente en huit lots6,7,8,9. Les enchères étant restées trop basses (1,7 million d'euro pour le premier lot qui comprenait le château lui-même, ses dépendances, le parc et l'église), les vendeurs décident de le retirer de la vente publique10.
Depuis le 15 novembre 2018, le château de Rixensart et son parc sont propriété de la Fondation Merode-Rixensart créée par le Prince Charles-Louis de Merode, son épouse, la Comtesse Clotilde d'Oultremont, et leurs enfants. Le Prince Charles-Louis de Merode, consul honoraire du Royaume de Belgique à Aix-la-Chapelle, fondateur du Carnet mondain, est le neveu de la Princesse Henri de Merode, qui était la précédente propriétaire avec ses enfants
En route pour le lac de Genval
Située au nord de la province du Brabant wallon, à une dizaine de kilomètres de Wavre, la commune de Rixensart abrite un trésor de nature et d’architecture : le parc de Genval.
Par Florence Pirard
Genval est aujourd’hui une agglomération fortement urbanisée, proposant un relief vallonné ponctué de deux cours d’eau, la Lasne et l’Argentine. D’un point de vue étymologique, Genval, divisé en deux parties, vient de la contraction de « jusenne » en « gen » (signifiant bas) et « val » : il s’agit donc du « val d’en bas ». Le territoire de Genval a été occupé dès la période néolithique, mais la première église n’est mentionnée qu’au XIIIe siècle. Essentiellement agricole jusqu’à la fin du XIXe siècle, le village deviendra résidentiel à la suite de la création d’une gare et d’un parc immobilier de 60 hectares. En 1898, l’exploitation des eaux minérales s’accompagnera de la création d’hôtels et de villas qui modifieront l’aspect du village.
Ce splendide pavillon a été aménagé en chambre d’hôtes. Vous pouvez y poser vos valises pour quelques nuits. :copyright: DR
L’eau a joué un rôle prépondérant dans le développement de cette commune du Brabant wallon, située à seulement 25 kilomètres du centre de Bruxelles. Au début du siècle dernier, on venait déjà en cure sur les bords du lac de Genval et c’est grâce à la Lasne, le cours d’eau qui traverse littéralement la commune, qu’ont pu se développer les papeteries de Genval, célèbres pour avoir créé le balatum.
Lire aussi > Trésors wallons : Le Fort de Loncin, la mémoire d’une tragédie
La création du lac
Le lac de Genval s’étend en bordure de la forêt de Soignes, au sud-est de Bruxelles, sur les limites des territoires des communes de Rixensart, dans la province du Brabant wallon, et d’Overijse, dans la province du Brabant flamand. À la fin du XIXe siècle, l’avocat et homme d’affaires Gustave Smets-Mondez (1861-1938) élabore le projet de création d’un lac artificiel sur des terrains dont il vient de faire l’acquisition dans la vallée de la rivière Argentine. Il souhaite transformer l’endroit en lieu de villégiature thermale pour les riches familles bruxelloises. L’aménagement du lac de 18 hectares et du parc qui l’accompagnera est confié à l’architecte paysagiste Adrien Hubaut. Le lac est rempli en 1903-1904 grâce à l’eau provenant de l’Argentine, dont le cours contournera ensuite le plan d’eau.
Le site autour du lac, qui est une propriété privée fermée par des barrières, est géré par la société anonyme Genval-les-Eaux, qui entreprend de le lotir. Dans un cadre arboré, on trace de nouvelles artères sinueuses, le long desquelles sont construits des habitations cossues, des hôtels et des restaurants aux styles les plus divers, rivalisant de fantaisie.
Nous passons sur le site des anciennes papeteries de Genval(nouveau logements)
avant
Les papeteries de Genval
Auguste Lannoye est né en 1874. Il fut le fondateur et directeur des papeteries de Genval. Il débute aux papeteries Bernard en France puis aux papeteries Saint Servais. Il continuera son parcours au grand site de Mont-Saint Guibert, devenu aujourd'hui le siège de Bachy Belgique, puis aux papeteries de La Hulpe, devenues propriété de Swift. Ce n'est qu'après cela qu'il s'installe définitivement comme directeur des papeteries de Genval.Aujourd'hui, les vestiges des papeteries sont lourdement reconvertis. Les bâtiments sont devenus des centres commerciaux de proximité, les corons sont massivement transformés, certains bâtiments ont disparu. Une friche qui renaît de ses cendres. Les photos ne présentent pratiquement pas de bâtiments reconvertis, cela va de soi que les vestiges de la papeterie sont méconnaissables.
La société est crée en 1920 et les bâtiments s'étalent très vite. La proximité de la gare et de la Lasne en font un lieu à peu près idéal. Lannoye créera un produit de renommée mondiale : le balatum. C'est un revêtement de sol établi à base de pâtes cartonneuses, un prix de revient très peu élevé et une solidité à toute épreuve. Ce revêtement aura ses heures de gloire, surtout entre 1950 et 1970. Il créera aussi le papier d'emballage kraft. Ce papier marron au prix dérisoire convient à toutes sortes d'emballages, surtout grâce à sa solidité.
Les papeteries s'étendent jusqu'en 1950. Il y avait près de la gare de Genval un bâtiment élevé appelé Tour à Charbon. Celle-ci servait à l'alimentation en charbon des locomotives vapeur dédiées au transport des produits de la papeteries. Aujourd'hui, cette tour est démolie. Juste à côté des bâtiments du personnel (près de l'actuelle gendarmerie), une tour élevée couverte de tuiles en ardoises. C'est la tour du tir à l'arc. On y pratique le tir vertical et le tir à la perche. On appréciera les jolis corons de la Place Lannoye, surtout dans la Rue de Rixensart des numéros 7 à 30, puis la rue longeant la tour du tir à l'arc. La place montre d'ailleurs un joli buste en bronze d'Auguste Lannoye.
Vers la gare, l'église de Maubroux (Eglise Saint-Pierre) a été aussi construite par les papeteries. C'est pour cette raison qu'on y retrouve une architecture industrielle : les montants de l'église sont en béton. Le clocher ne manque pas de rappeler un chevalement minier. Il ne manque plus que les molettes !
En 1936, un incendie ravageur détruit une partie de l'usine. Malgré tout, les fonds permettent une reprise et même un développement. Auguste Lannoye meurt en 1938. Le développement continue jusqu'en 1950, où 2500 employés travaillent quotidiennement à la fabrication du balatum. Le déclin survient par manque de modernisation de l'usine. Le manque de volonté manifeste fait tomber l'usine en 1980
.
Direction vallée de la Lasne vers Renipont
Renipont-Plage, c’est une piscine naturelle à ciel ouvert nichée au fond d’un domaine de 9 he ctares, majoritairement classé Natura 2000.
Ce bassin naturel est alimenté par une source, le Ry d’Heuchaux. L’étang est donc parfaitement sain et propre.
Étroitement surveillée par les inspecteurs de la Région Wallonne, Renipont-Plage se hisse en tête du classement de qualité des eaux de baignade.
Patrick van den Bogaerde, propriétaire du site : ”Notre personnel veille à ce qu’aucun mégot de cigarette, aucune canette, aucun sac en plastic ne traîne sur la plage ou au bord de l’eau.
Nous voulons aussi conscientiser nos visiteurs. Le message passe assez bien d’ailleurs. Les gens comprennent que les eaux de source qui alimentent l’étang sont précieuses et que la qualité des eaux de baignade doit être maintenue. La plupart des personnes sont tout à fait respectueuses.
Un étang d’autant plus propre que les carpes contribuent au nettoyage du bassin”.
Ensuite direction place de Céroux Mousty
Cette place de 10.000m² est la plus grande et la plus verte des places du Brabant wallon3,5.
Conservant quelques tronçons de rue pavés, elle constitue une « vaste et belle place presque carrée » divisée par une ruelle diagonale en deux triangles de pelouse inégaux4, un grand triangle au sud et un petit au nord.
Son intérêt paysager est lié à la présence de 61 tilleuls de Hollande qui donnent à la place un charme exceptionnel et sont classés par arrêté ministériel5.
Ce triangle constitue la plus grande place entourée d'arbres de Belgique, ce qui en fait un lieu particulièrement adapté aux décollages de montgolfières6,7.
Nous roulerons au travers des champs pour rejoindre la place de Céroux Mousty, célèbre pour les vols en montgolfières et la fête de la pomme place qui a inspiré Herger
De là nous prendrons la direction de la place d’Ohain, place qui abrite une très beau kiosque
La Place Communale, est sans conteste une des plus belles places de
village de Belgique, classée en 1959. Bordée de maisons élégantes, elle
dégage une grande sérénité et a attiré, depuis toujours, de nombreux
artistes. Regardez la maison sise au n° 17 (maison avec la verrière) : elle a
été la maison de deux artistes renommés, Anto Carte (1886-1954) et Albert
Delstanche (1870-1941).
En montant sur le kiosque, vous pouvez apercevoir, à gauche de la place, le
manoir d’Ohain dont beaucoup de Lasnois ignorent l’existence tant il se
dissimule derrière ses murs. C’est une magnifique bâtisse, datant de la fin
du 15ème siècle, qui s’est transmise depuis cette époque uniquement par
successions. Un fait rare. Il est actuellement la propriété du comte de
Diesbach. Le peintre Bram Bogart, décédé en 2012, y a vécu de 1962 à 1987
et y a connu une période de création très féconde.
La place d’Ohain est également un lieu d’histoire : au n° 17 où vécurent les
artistes Anto Carte et Albert Delstanche, Paul Goldschmidt-Clermont prit
l’initiative, en août 1941, de réunir clandestinement des personnalités du
monde politique et économique pour signer un texte qui fut à l’origine du
système de sécurité sociale mis sur pied après la guerre. Une plaque
apposée sur la façade de l’ancienne maison communale rappelle cet
évènement.
Toujours sur la Place Communale
La Fontaine Mascart a été inaugurée en 1890 en grande pompe pour
honorer trois frères : Julien, Antoine et Louis Mascart, natifs d’Ohain.
Quatre membres de la famille Mascart furent tour à tour bourgmestres
d’Ohain.
Direction Genappe via de petites route de campagne
Au xixe siècle, l’économie de Genappe était essentiellement agricole. Les trois plus grandes exploitations agricoles étaient la « Ferme du Roi d’Espagne », la « Ferme Art » et la « Ferme Demanet ». La production la plus importante était le froment, suivi par l’avoine, les fèves et féveroles et les pommes de terre. Près de 29 hectares étaient constitués de prés et de vergers.
Genappe comprenait alors deux moulins, deux brasseries, deux fabriques de vinaigre de fruits, cinq fabriques de chicorée dont une mue par un cheval, deux pressoirs à huile (« stordoirs »), etc.
Le marché se tenait à Genappe le vendredi depuis un A.R. du 2 juillet 18236.
Genappe a été la barrière d'octroi n° 6 en Brabant sur la route de Bruxelles vers Trèves7. En 1834 la perception de l'octroi se faisait légalement entre la Poste aux chevaux et le chemin de Bousval.
Il serait difficile de relater le détail les divers événements qui ont ponctué l’histoire du château de Genappe : ce serait vouloir écrire toute l’histoire du Brabant. Il faut, cependant, obligatoirement faire mention du séjour que fit à Genappe, le dauphin de France, futur Louis XI, en révolte ouverte contre son père Charles VII. Le dauphin, qui ne s'entendait pas avec son père, avait précédemment passé dix années dans son apanage du Dauphiné, et pris la fuite lorsque son père fit envahir la province le 30 août 1456, pour le contraindre à revenir à la Cour.
Sous le prétexte d'une partie de chasse, activité dont il était friand, Louis, accompagné d'une petite escorte, mit le cap sur Chalon en terre bourguignonne puis, à travers la Lorraine, sur Bruxelles où il parvint le 15 octobre de cette même année. Le dauphin Louis espérait bien trouver refuge auprès de son « bon oncle », le duc Philippe III de Bourgogne, et celui-ci le reçut avec tous les honneurs dus à son rang, lui octroyant le château de Genappe comme résidence, ainsi qu'une pension annuelle de 36 000 livres.
La réserve naturelle des décanteurs de la sucrerie de Genappe est aujourd’hui, avec ses 77 hectares, la plus grande réserve du Brabant wallon !!
En 2004, la sucrerie ferme définitivement ses portes. La Région wallonne se porte acquéreuse de l’ensemble du site en 2007 et la création de la réserve naturelle est décidée dans la foulée. Cette réserve naturelle domaniale " les décanteurs de la sucrerie de Genappe " est gérée par le département de la nature et des forêts (DNF) de la Région wallonne, propriétaire des lieux
un petit coup de pouce des bénévoles - :copyright: Tous droits réservés
Etant donné la taille du site, l’association Environnement-Dyle et des bénévoles viennent régulièrement en renfort pour couper des saules qui assèchent les bassins de décantation ; dégager des passages pour les visites guidées, éliminer des plantes invasives. Les tâches sont donc diverses : tronçonner, ébrancher, ramasser, brûler, … en fonction des compétences de chacun, au rythme qui convient et le temps que l’on veut.
Nous continuons notre route vers Nivelles ou nous nous arrêterons pour une pause à l’entrée de l’ancien circuit de Formule 1
Le circuit de Nivelles-Baulers est un ancien circuit de sports mécaniques situé à Nivelles, près de Bruxelles (Belgique), actif de 1971 à 1981. Développant 3,724 km, il a notamment accueilli deux Grands Prix de Formule 1, les 4 juin 1972 et 12 mai 1974, tous deux remportés par Emerson Fittipaldi.
Vue aérienne du Circuit de Nivelles-Baulers
Inauguré en 1971, le site accueille les éditions 1972 et 1974 du Grand Prix automobile de Belgique, à une période où l'épreuve alterne entre circuits flamand et wallon. Conçu par Roger Caignie pour être une alternative sûre à Spa-Francorchamps jugé trop dangereux, le circuit de Nivelles-Baulers est, à l'époque, à la pointe de la sécurité ; les spectateurs sont idéalement placés avec une belle vue d'ensemble sur le tracé 1.
En 1972, le Grand Prix de Formule 1 attire 100 000 personnes et voit la victoire d'Emerson Fittipaldi.
En 1980, le circuit accueille le championnat du monde de karting auquel participe Ayrton Senna qui se classe deuxième2,3.
Le circuit rencontre rapidement des problèmes économiques et l'organisateur, la société CAPENIB (circuit automobile permanent européen de Nivelles-Baulers) fait faillite en 1974. Bernie Ecclestone doit organiser lui-même l'édition 1974 du Grand Prix.
Le circuit est ensuite exploité par Lawrence Gozlan qui, en 1978, rachète le bail emphytéotique alors que l'État se portait également acquéreur. Le 1er décembre 1981, un arrêté royal classe le site « zone d'extension d'équipement communautaire et de service public », et le ferme définitivement.
Jusqu'à la fin des années 1990, les bâtiments et le circuit sont abandonnés. L'Intercommunale du Brabant wallon achète les terrains et la piste est partiellement détruite (il ne subsiste qu'environ un tiers du tracé). La zone industrielle Portes de l'Europe-Nivelles business park est bâtie à la place4.
Le 29 juin 2014, quarante ans après la dernière course de Formule 1, Le Formula Club Belgium organise une démonstration, le Grand Prix de Nivelles Revival, sur une partie de l'ancien tracé.
Après cette pause nous reprenons la route vers le plan incliné de Ronquières
Le plan incliné de Ronquières est un ascenseur à bateaux près de Ronquières (Braine-le-Comte), dans la province de Hainaut (Belgique). Situé sur le parcours du canal Bruxelles-Charleroi, il permet de faire glisser un bac contenant une ou plusieurs péniches en vue de leur faire franchir un dénivelé important. Le plan incliné a été mis en service en 1968.
Le plan incliné de Ronquières compense une dénivellation de 68 m sur 1 432 m de long.
Il est constitué de deux bacs montés sur rails (sas mobiles) équipés chacun d'un contrepoids de 5 200 tonnes. Chaque bac mesure 91 m de long, 12 m de large, 600 roues et peut contenir une hauteur d’eau de 3 à 3,70 m.
Sa capacité maximale est de une péniche de 1 350 tonnes ou plusieurs bateaux de plus petit tonnage.
Chaque bac est tracté par un treuil situé dans la tête amont, au pied de la tour. Chaque bac est relié à son contrepoids par huit câbles. Chaque bac fonctionne de manière totalement indépendante
Le parcours de 1 432 m entre les deux biefs dure 22 minutes environ à la vitesse de 1,20 m/s1.
Après une halte nous poursuivons vers le port d’Ittre ou nous pourrons manger notre pic-nic, un établissement nous permet de manger notre picnic et d’utiliser leur toilette, nous pouvons profitez de leur installation si nous consommons une boisson endroit charmant.
La Capitainerie est ouverte du samedi 13 juin 2020 au 30 septembre 2020 les mercredi, jeudi et vendredi de 12 h à 18 h et les samedi et dimanche de 11 h à 18 h .
LES MESURES DE PRECAUTION APPLICABLES A L’HORECA SERONT EN VIGUEUR
Après la pause déjeuner nous nous dirigerons vers Nivelles et sa Collégiale
Époque Romaine
À l'époque romaine : la conquête par les armées de César n'apporte pas de changement, la région est toujours vouée à l'agriculture. Il faut attendre la fin du ier siècle pour une réelle romanisation. Tant dans les grands domaines comme le complexe de la Tournette que dans les petites métairies comme celle de la Vieille Cour à Thines, l'influence de Rome et les bienfaits de techniques nouvelles se font alors sentir : céramique, métallurgie, construction en dur et produits de luxe... La région est favorisée par la proximité de la grande chaussée Bavay-Cologne.
Vers 275, l'invasion barbare traverse le pays et modifie l'aspect des campagnes qui seront désertées. La plupart des villae (ou fermes) sont détruites par incendie.
Moyen Âge[modifier | modifier le code]
Au milieu du viie siècle, le territoire de la ville actuelle de Nivelles se situe au cœur de l'Austrasie franque. Les maires du palais de la dynastie des Mérovingiens deviennent peu à peu propriétaires de vastes domaines agricoles sur lesquels ils règnent en maîtres. Ainsi, le maire du palais, Pépin de Landen, possède une immense villa de quelque 7 800 hectares sur le territoire de l'actuelle ville de Nivelles et des villages environnants. Il meurt en 640, laissant une veuve, Itte Idoberge (ou Itte de Nivelles), originaire d'Aquitaine, et quatre enfants : Grimoald Ier Ier, Begge d'Andenne, Bavon de Gand et Gertrude de Nivelles.
Entre 647 et 650, l'évêque de Maastricht, Amand, lui aussi originaire d'Aquitaine, persuade Itte de fonder un monastère double, c'est-à-dire une communauté d'hommes et de femmes qui trouve un abri dans les murs de la villa de Pépin. Gertrude, la fille de Itte, devient la première abbesse de l'abbaye de Nivelles. Le premier oratoire, dont on a découvert les restes sous la collégiale, était dédié à saint Pierre. C'est là que l'on enterre les membres de la communauté (l'abbesse sainte Gertrude en 659, Ermentrude, vers l'an 1000, petite-fille du roi des Francs Hugues Capet). Le second oratoire, dédié à saint Paul, est réservé à la communauté masculine. Quant à l'oratoire dédié à Notre-Dame, il est réservé à la communauté féminine.
Gertrude meurt en 659 et est enterrée dans la chapelle funéraire dédiée à saint Pierre. La présence de cette tombe abbatiale va conditionner toute l'évolution architecturale de l'église : l'afflux des pèlerins entraîne des adaptations et des agrandissements continuels. Le prestigieux édifice roman, consacré en 1046 par l'évêque de Liège Wazon en présence de l'empereur Henri II du Saint-Empire, n'est que l'ultime étape de cette évolution.
La Collégiale Sainte-Gertrude de Nivelles.
Quant à l'abbaye, fondée par des membres de la famille des maires du palais, elle devient abbaye impériale par l'accession au trône de leurs descendants.
Le xie siècle constitue l'apogée de l'abbaye. Le domaine étend ses possessions en Frise, en Zélande, dans la vallée de la Moselle et jusqu'au Rhin. À Nivelles, une ville se forme autour du noyau que constitue l'abbaye : un vicus (agglomération marchande) sous Charles II le Chauve (ixe siècle), un burgus vel villa (xie siècle), un oppidum (xiie siècle - avant 1182) avec un rempart long de près de deux kilomètres, percé de sept portes et flanqué de onze tours.
Au xiiie siècle, la ville est sous la protection des ducs de Brabant.
L'axe commercial principal de la région est à l'origine un axe nord-sud s'étendant jusqu'en Angleterre. Il se déplace sur l'axe est-ouest, soit la voie Cologne-Bruges. La ville atteint alors, en un très court délai, un niveau de prospérité tel qu'elle ne pourra pas le maintenir, se voyant supplantée par les autres communes du Brabant.
À Nivelles, les véritables représentants de l'autorité communale sont les jurés, les rentiers et les maîtres des métiers qui apparaissent au xive siècle ; ils s'occupent tant des finances que des fortifications et des travaux publics. Les échevins auront de l'importance plus tard.
En 1262, le soulèvement de la « commune » de Nivelles les habitants affrontent l'autorité abbatiale, jusqu'en 1265 ; chartes et traités conclus avec d'autres villes ainsi que le sceau communal créés pour la circonstance sont finalement détruits.
Le règne de la duchesse Jeanne de Brabant marque la période de la plus grande puissance de la commune nivelloise. Les concessions qu'elle obtient, tant de la souveraine du Brabant que des abbesses, assurent le renforcement définitif de ses libertés.
Époque moderne[
Période espagnole (1555-1713)[
En 1578, la ville est assiégée et prise par les troupes espagnoles de Charles de Mansfeld. En 1647, l'émeute provoquée par les fabricants de fil, suivis aussitôt par leurs ouvriers, va inciter un grand nombre d'artisans à gagner les régions de Cambrai et de Valenciennes, exil qui va coûter très cher aux activités économiques de la ville. Les guerres transforment les Pays-Bas espagnols en un immense champ de bataille et Nivelles n'échappe pas aux occupations militaires successives.
Période autrichienne (1713-1795)[
Le régime autrichien apporte des réformes d'ordre administratif, ecclésiastique, institutionnel et judiciaire. Ainsi, le règlement de 1778 supprime le corps des jurés et restituant aux échevins leurs prérogatives. Le nouveau magistrat ne résiste cependant pas aux réformes voulues par Joseph II ainsi qu'à la tourmente révolutionnaire. Le réseau des voies de communication routière s'améliore. Durant la révolution brabançonne, le parti de Henri van der Noot triomphe à Nivelles où l'on s'efforce d'anéantir toutes les réformes introduites par Joseph II.
Époque contemporaine[]
Période française (1795-1815)[
La période française se traduit par la rupture définitive avec l'Ancien Régime et la naissance d'une démocratie moderne. Les remparts sont détruits par les Français entre 1810 et 1812, ne laissant subsister que des fragments du mur d'enceinte et la Tour Simone (ou tour du Diable), encore visitable de nos jours.
Le palais de Justice I (1888-1891).
Belgique indépendante[modifier | modifier le code]
À la révolution belge de 1830, la ville de Nivelles est l'une des premières à envoyer à Bruxelles un groupe de patriotes, qui se distingue par leur ardeur au combat.
La révolution industrielle, caractérisée notamment par l'avènement de la mécanisation, va faire de Nivelles un pôle industriel appréciable à travers la montée en régime de la Société anonyme la Métallurgique, future La Brugeoise et Nivelles, spécialisée dans la chaudronnerie en général, la construction métallique et surtout le matériel de chemin de fer, dont des locomotives électriques encore en service de nos jours. L'année 1988 lui sera cependant fatale pour d'obscures raisons communautaires, malgré l'intérêt porté par la firme Bombardier.
En début de xxe siècle, Nivelles est une ville de province calme avec de petits moyens. La Première Guerre mondiale va porter un premier coup aux efforts consentis, mais pas de manière vraiment durable.
La nuit du 3 au 4 février 1920, un incendie à l'école normale de Nivelles tue cinq élèves et un maître. Le directeur, M. Victor Deprez, meurt de chagrin quelques jours plus tard8. Une tombe commune est érigée au cimetière de Nivelles tandis qu'une plaque commémorative figure à l'entrée de l'école normale (Haute École P-H. Spaak).
La Seconde Guerre mondiale va marquer de façon indélébile tant la ville elle-même que sa population. Le 14 mai 1940, tout est détruit par l'aviation allemande dans un rayon de 300 m, à quelques rares exceptions près, autour d'une collégiale dont il ne reste plus que les murs.
La politique économique des années 1950-1960 voit la reprise des Papeteries Delcroix par le grand papetier Wiggins Teape et la création d'un parc industriel non-polluant qui va aller d'extension en extension, un des premiers en Belgique sur le modèle américain[Lequel ?].
En septembre 1984, l'inauguration de la collégiale restaurée marque une étape du renouveau de la cité des Aclots.
Nous quitterons Nivelles Vers Houtain le Val entité de Genappe, et ensuite Baisy-THY
Houtain-le-Val Castle | |
Belgium | |
Type | Castle |
The first castle on the site is believed to have been built by Walter de Holton, first lord of Houtain, in 1129. When it was restored in 1850, two small towers were added. The present owners are the descendants of the Comte de Moerkerke
Baisy-Thy (en wallon Båjhî) est une section de la Ville belge de Genappe située en Région wallonne dans la province du Brabant wallon.
C'était une commune à part entière avant la fusion des communes de 1977.
· Naissance probable de Godefroid de Bouillon en 10611.
· Le 16 juin 1815 a eu lieu une bataille au lieu-dit "Les Quatre-bras" entre l'armée de Napoléon et une coalition de Néerlandais, Anglais et Allemands1. Elle fut prélude à la Bataille de Waterloo trois jours plus tard
· Église Saint-Hubert de Baisy-Thy
· Monument Brunswick2 à la mémoire de Frédéric Guillaume de Brunswick et Lunebourg décédé à proximité le 16 juin 1815.
· Monument à la cavalerie néerlandaise
· Monument aux troupes britanniques et hanovriennes
· Monument aux Belges (Quatre Bras)
· Ferme de l'Auditeur
· Ferme de Bois-St-Jean
· Fermes de Bongré et de Gémioncourt
· Ferme de la Cour d'Aywiers et ferme d'Agnissart
· Château de Thy
Nous arriverons en suite à Villers La Ville
L'abbaye de Villers, dont le nom canonique est « abbaye de Villers-en-Brabant », parfois improprement appelée « abbaye de Villers-la-Ville »note 1, était un monastère de l'ordre de Cîteaux situé près de Villers-la-Ville, en Brabant wallon (Belgique).
Fondée en 1146 dans la vallée de la Thyle par Bernard de Clairvaux, cette abbaye était l'une des premières filles de l'abbaye de Clairvaux. Elle fut très tôt protégée par les ducs de Brabant et ainsi rapidement féconde. Le xiiie siècle marque son apogée. Entre les xive et xviie siècles,
l'abbaye a connu une succession de périodes calmes et troublées, durant lesquelles les moines ont quitté les lieux à neuf reprises pour raisons d'insécurité. Au xviiie siècle, l'abbaye a connu son second âge d'or, marqué par une grande ébullition architecturale. Après la Révolution française, la communauté monastique a dû se disperser, puis l'abbaye fut vendue comme bien national.
Dès lors, aux xixe et xxe siècles, le site a connu dégradations et restaurations. L'ancienne abbaye de Villers est devenue un lieu de visite romantique et pittoresque, mais bien que devenu touristique, le site se dégradait. L'État belge a donc procédé à l'expropriation des lieux en 1892 pour y entamer un important chantier de restauration.
Les ruines appartiennent désormais à la Région wallonne, relevant du patrimoine majeur de Wallonie. La gestion du site est confiée à une association sans but lucratif, laquelle organise depuis 1987 des représentations théâtrales, des expositions et autres manifestations.
Notre balade se terminera « Au Tracteur » à chevlipon ou ceux qui le souhaites pourrons se restaurer avent de rentrer, un très bon établissement sympa
En 1293, le bailli de Nivelles accorde aux religieux de Villers le droit de pouvoir détourner de son cours la Thyle. C’est de cette époque que daterait la construction du moulin. Il servira aussi de forge et de pressoir à huile (stordoir).
Sous la révolution française, le moulin et ses dépendances furent nationalisés et vendus comme biens provenant de la communauté dissoute de Villers. Le moulin comptait alors deux roues motrices et deux paires de meules tandis que le corps de logis couvert d’ardoises se composait de trois petites places. Il y avait aussi une grange et deux écuries aux toits de chaume, une cour, un fournil, etc.
En 1858, les propriétaires renouvellent la roue hydraulique afin d’y installer 3 paires de meules. Ils ajoutent au moulin une scierie de marbre et de pierre bleue, activée par une roue hydraulique. Fin du 19e siècle, le moulin est acheté par la famille Boël qui le transforme en une scierie à bois. Durant la guerre 1914-1918, les Allemands posent une voie ferrée depuis la gare de La Roche pour desservir la scierie.
Le moulin de Chevlipont a été transformé en plusieurs logements mis en location.
Au Tracteur
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[size=30]Au Tracteur[/size]
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Chaleureux · Décontracté · Convient aux enfants
Adresse : Rue de Chevelipont 17, 1490 Court-St.-Étienn
Re: Le 13 septembre 2020, balade dans le BéWé.
Nous confirmons notre présence! Nous participerons à tout sauf au souper au "Tracteur".
Merci, les amis, pour cette chouette proposition!
Olivier "Posske" Vanderhaeghen annonce sa présence aussi.
Merci, les amis, pour cette chouette proposition!
Olivier "Posske" Vanderhaeghen annonce sa présence aussi.
lucdm- Admin
- Messages : 3261
Date d'inscription : 20/04/2012
Age : 68
Localisation : Natoye / Président OOCB
Balade du 13 septembre
Bonjour,
Nous confirmons notre présence à la balade du 13 septembre ainsi que pour le resto du soir.
Nous serons 3 ! COOL Fernand, PEETERS Annie & PEETERS Jean-Claude.
Nous confirmons notre présence à la balade du 13 septembre ainsi que pour le resto du soir.
Nous serons 3 ! COOL Fernand, PEETERS Annie & PEETERS Jean-Claude.
COOL - PEETERS- Messages : 50
Date d'inscription : 18/06/2018
Age : 72
Localisation : CHAUMONT-GISTOUX
Re: Le 13 septembre 2020, balade dans le BéWé.
Agnès et JC Demoulin aussi! Ils ne participeront pas au repas du soir.
lucdm- Admin
- Messages : 3261
Date d'inscription : 20/04/2012
Age : 68
Localisation : Natoye / Président OOCB
Re: Le 13 septembre 2020, balade dans le BéWé.
Bonjour,
Je serai également de la partie avec participation au souper au tracteur
Bonne journée
Henri
Je serai également de la partie avec participation au souper au tracteur
Bonne journée
Henri
CorsaHG- Messages : 209
Date d'inscription : 26/08/2019
Age : 74
Localisation : Ghlin (Mons)
B.W.
Bonjour
Partant ausssi Bonne journée.
Partant ausssi Bonne journée.
kartphil- Messages : 706
Date d'inscription : 24/04/2012
Age : 68
Localisation : Angleur
prix du PDJ
Le prix du petit déjeuner que j'ai négocié est de 15 euros pp au lieu de 17
belle soirée
Alain
belle soirée
Alain
Re: Le 13 septembre 2020, balade dans le BéWé.
Merci, Alain, c'est super!
lucdm- Admin
- Messages : 3261
Date d'inscription : 20/04/2012
Age : 68
Localisation : Natoye / Président OOCB
Re: Le 13 septembre 2020, balade dans le BéWé.
Rudy Kinet (4 personnes).
lucdm- Admin
- Messages : 3261
Date d'inscription : 20/04/2012
Age : 68
Localisation : Natoye / Président OOCB
Re: Le 13 septembre 2020, balade dans le BéWé.
Bonjour à tous,
Nous n'en ferons pas partie car nous serons dans les Ardennes pour le brame du cerf
Nous serons certainement présent le 27. Confirmation dans les prochains jours.
Bon we et à bientôt.
Monzamicalement
Nous n'en ferons pas partie car nous serons dans les Ardennes pour le brame du cerf
Nous serons certainement présent le 27. Confirmation dans les prochains jours.
Bon we et à bientôt.
Monzamicalement
Monza 81- Admin
- Messages : 152
Date d'inscription : 28/01/2018
Age : 67
Localisation : Mons-Belgique/Secrétaire OOCB
Re: Le 13 septembre 2020, balade dans le BéWé.
Monza 81 a écrit: le brame du cerf
C'est bien aussi!
lucdm- Admin
- Messages : 3261
Date d'inscription : 20/04/2012
Age : 68
Localisation : Natoye / Président OOCB
Re: Le 13 septembre 2020, balade dans le BéWé.
Merci de l'initiative.
Très beau programme.
Désolés de ne pouvoir participer, rentrant de France ce jour-là.
Belle balade!
Pierre & Yvette
Très beau programme.
Désolés de ne pouvoir participer, rentrant de France ce jour-là.
Belle balade!
Pierre & Yvette
Re: Le 13 septembre 2020, balade dans le BéWé.
On aurait bien aimé participer mais malheureusement ce sera sans nous cette fois
Nous vous souhaitons une belle journée et une agréable balade
Nous vous souhaitons une belle journée et une agréable balade
BenGt- Admin
- Messages : 670
Date d'inscription : 25/07/2013
Age : 65
Localisation : Ciney
Re: Le 13 septembre 2020, balade dans le BéWé.
C'est avec grand plaisir que je serai des vôtres dimanche. A bientôt. Philippe
kapitan- Messages : 43
Date d'inscription : 17/12/2012
Re: Le 13 septembre 2020, balade dans le BéWé.
Nous rejoignons ce WE nos amis normands et parisiens,opelistes de longue date et amis depuis presque 20 ans !
Bonne balade dans mon berceau natal !
Bonne balade dans mon berceau natal !
yves 83 le vice- Messages : 1000
Date d'inscription : 10/04/2012
Age : 64
Localisation : Chaumont-Gistoux/Vice-Président OOCB
c'est dimanche
Voilà c'est dimanche et je vous l'avais promis, le BEAU TEMPS il sera de la partie
Rendez-vous pour le petit déjeuner à partir de 8 hs jusqu'à 9h30 départ vers 10 hs
Adresse
Novotel Wavre
Rue de la Wastinne 45, 1301 Wavre (Bierge) en venant de Namur ou de Bruxelles sortie Autoroute Wavre vers Walibi après les signaux proche de la sortie directement la voie de droite en entrant dans la rue de la Wastinne, parking entrée hôtel directement à votre droite
à Dim anche, vous pouvez encore nous y rejoindre
Alain et Viviane
Rendez-vous pour le petit déjeuner à partir de 8 hs jusqu'à 9h30 départ vers 10 hs
Adresse
Novotel Wavre
Rue de la Wastinne 45, 1301 Wavre (Bierge) en venant de Namur ou de Bruxelles sortie Autoroute Wavre vers Walibi après les signaux proche de la sortie directement la voie de droite en entrant dans la rue de la Wastinne, parking entrée hôtel directement à votre droite
à Dim anche, vous pouvez encore nous y rejoindre
Alain et Viviane
lucdm, Alain Decastiau et COOL - PEETERS aiment ce message
Re: Le 13 septembre 2020, balade dans le BéWé.
On se réjouit! Nous serons là vers 8h30.
lucdm- Admin
- Messages : 3261
Date d'inscription : 20/04/2012
Age : 68
Localisation : Natoye / Président OOCB
balade
Bonjour :
Ca s'annonce bien !!!!
Faut il prévoir du liquide pour régler le petit déjeuner ou on sait payer avec une carte ?
Bon vendredi à tous.
Ca s'annonce bien !!!!
Faut il prévoir du liquide pour régler le petit déjeuner ou on sait payer avec une carte ?
Bon vendredi à tous.
kartphil- Messages : 706
Date d'inscription : 24/04/2012
Age : 68
Localisation : Angleur
Re: Le 13 septembre 2020, balade dans le BéWé.
Super!
Je serai là vers 08h15.
À dimanche.
Je serai là vers 08h15.
À dimanche.
posske- Messages : 176
Date d'inscription : 13/02/2014
Age : 55
Localisation : Ramillies
Re: Le 13 septembre 2020, balade dans le BéWé.
Merci à Viviane et Alain pour cette chouette journée!
Nous sommes enchantés d'avoir revu les amis, et aussi d'avoir découvert plein d'endroits que nous ne connaissions pas, et où nous n'aurions même pas eu l'idée d'aller. C'était l'ouest du Brabant wallon. Alain nous a dit que la prochaine fois, nous irions à l'est. On se raffiye!
Nous sommes enchantés d'avoir revu les amis, et aussi d'avoir découvert plein d'endroits que nous ne connaissions pas, et où nous n'aurions même pas eu l'idée d'aller. C'était l'ouest du Brabant wallon. Alain nous a dit que la prochaine fois, nous irions à l'est. On se raffiye!
lucdm- Admin
- Messages : 3261
Date d'inscription : 20/04/2012
Age : 68
Localisation : Natoye / Président OOCB
Régine- Messages : 19
Date d'inscription : 01/04/2020
Age : 69
Localisation : Natoye
Balade
Bonjour,
Superbe dimanche Très jolie région. Organisation tip-top C'est toujours un plaisir de vous retrouver tous. Marie-Jeanne s'associe à moi pour vous souhaiter une bonne journée et elle se réjouis d'être le 27 pour se retrouver tous.
Superbe dimanche Très jolie région. Organisation tip-top C'est toujours un plaisir de vous retrouver tous. Marie-Jeanne s'associe à moi pour vous souhaiter une bonne journée et elle se réjouis d'être le 27 pour se retrouver tous.
kartphil- Messages : 706
Date d'inscription : 24/04/2012
Age : 68
Localisation : Angleur
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